Un PC Amazon, à très bon prix.
AMD Ryzen 5 7600X
( Moins cher sur Aliexpress)
Thermalright Assassin Spirit 120 EVO DARK TL-E12B V2 PWM
ASUS PRIME B650-PLUS
Crucial Pro RAM DDR5 32Go Kit (2x16Go) 6000MHz CL36
Crucial P3 Plus SSD 1To
ASUS DUAL-RTX5070-O12G
CORSAIR 4000D AIRFLOW
Ou si vous préférez un boitier sans fenêtre :
Fractal Design Focus 2 ATX Mid Tower Case
Il y a un filtre à poussière, mais pas de cache pour cacher le filtre, donc la poussière qui va se coller sera visible.
CORSAIR RM850e (2025) ATX3.1
3 ARCTIC P12 Silent – 120 mm
Répartiteurs Ventilateur PWM 25cm 1Broch 1 à 3 Voies
MSI MAG 275QF Écran Gaming 27″ WQHD – Dalle Rapid IPS 2560 x 1440, 180 Hz / 0,5 ms. Luminosité : 300 cd/m². Attention en Dalle 8 bits + FRC. Petite HDR. (Attention, voir explication en fin de page)
Vous pouvez constater que malgré un investissemnt beaucoup plus important dans le GPU, le GPU est plus exploité que le CPU.
https://www.youtube.com/watch?v=c-3TrJz0wLE
Si on active le DLSS 4 …, les performances sont encore largement meilleures.
Vous allez apprendre de nouvelles choses !!!
J’ai choisi le ventirad Assassin Spirit 120. Parce qu’il est réputé pour son rapport qualité prix et il est capable de dissiper jusqu’à 150 watts de chaleur, ce qui en fait un bon rapport qualité-prix.
Pour le savoir, il faut regarder des tests parce que le constructeur ne communique pas cette information.
Je l’ai associé à un Ryzen 5 7600X, un processeur avec un TDP de 105 watts en usage normal, mais qui peut monter jusqu’à 142 watts en mode turbo.
Alors oui, j’aurais pu opter pour la version non-X du processeur, fournie avec le ventirad d’origine d’AMD. Mais il faut savoir que le ventirad ADM stock ne suffit pas pour maintenir le CPU boost en continu.
Concrètement, quand le processeur monte en fréquence, il chauffe. Et si le refroidissement n’est pas à la hauteur, une sécurité thermique se déclenche. Le CPU réduit sa fréquence pour éviter la surchauffe… et là, c’est la chute de performance.
En jeu, ça se traduit par des FPS instables. En usage pro, comme du rendu vidéo, le temps de traitement s’allonge. Bref, ce n’est pas optimal.
J’aurais pu aussi prendre un ventirad plus performant et plus cher, c’est vrai. Ça m’aurait permis de faire tourner le ventilateur plus lentement, donc d’avoir moins de bruit. Mais ce type de refroidissement est surtout utile pour de l’overclocking, ou pour des CPU qui chauffent encore plus, il en est de même avec les Watercolling.
L’ avantage des ventirad sur les watrcooling, c’est que c’est moins cher et c’est plus fiable. Par contre, c’est moins esthétique.
Le watercolling ce justifie essentiellement sur les configs les plus exigeantes.
Dans mon cas, le 7600X et l’Assassin Spirit 120 forment un bon équilibre.
On est à la limite des capacités, mais c’est tout à fait adapté, sans dépenser trop.
Même avec un CPU beacoup plus puissant et meme face a de gros ventirad il s’en sort tres bien. https://youtu.be/7o74u1u642I?si=7jvC4VLlBvVoE9yz&t=1732
Benchmark CPU: https://www.cpubenchmark.net/cpu.php?cpu=AMD+Ryzen+5+7600X&id=5033
Ce PC est pensé pour le jeu, notamment pour des jeux de stratégie en temps réel, Ces jeux affichent souvent des centaines d’unités à l’écran, ce qui demande beaucoup de ressources au processeur.
Pour ce type d’usage, les processeurs AMD 3D V-Cache, qu’on appelle les « 3DX », sont très efficaces. Ils embarquent un cache L3 de grande capacité, ce qui leur permet de gérer les données beaucoup plus vite, sans avoir à solliciter la mémoire RAM aussi souvent. Résultat : les performances sont bien plus stables.
Mais voilà : ces processeurs sont chers. Le modèle le moins cher en socket AM5 tourne autour de 300 €, et contrairement à ses grand frère son rapport performance/prix n’est pas génial.
Dans mon budget, ce n’était donc pas judicieux de partir là-dessus. Il faut savoir que pour le jeu, c’est surtout la carte graphique qui compte. Il sagit tout de même d’un processeur avec un genereux cache L3 de 32MB. C’est 96Mb dans sa version X3D mais c’est tout de même le haut du panier.
J’aurais pu envisager un processeur Intel, c’est vrai. Dans les benchmarks purs, à tarif égal, les processeurs Intel semblent un peu en retrait. Mais en jeu, grâce à une meilleure optimisation, ils sont souvent plus performants à benchmark comparables. Intel, a fait beaucoup de processeur de mauvaise qualité depuis la génération 13. En ce moment, l’avantage est plutôt du côté de AMD.
Certains processeurs intègrent désormais une APU, une unité de calcul dédiée à l’intelligence artificielle textuelle ; si ses performances demeurent pour l’instant limitées, elles devraient gagner en puissance au fil des années et être de plus en plus exploitées — notamment par Copilot et Windows 12.
Pour le boîtier, j’ai choisi un modèle de la marque Corsaire, c’est bonne marque de boitier, ils sont généralement bien construit, avec une bonne qualité de finition.
C’est un boîtier mesh. ce type de façade perforée offre une excellente ventilation : l’air entre facilement par l’avant, et la chaleur est bien évacuée par le haut et l’arrière. C’est top pour garder les composants au frais.
Autre bon point : il y a assez d’espace à l’arrière pour bien passer tous les câbles, donc c’est propre et facile à organiser.
Un point super important dans un boîtier, c’est la présence de filtres à poussière. Mieux vaut avoir la poussière qui s’accumule sur les filtres qu’à l’intérieur du PC. Et c’est bien plus simple à nettoyer.
C’est un boîtier avec une vitre latérale.
Alors ça, on aime ou on n’aime pas. L’avantage, c’est qu’on voit la configuration : c’est esthétique, surtout si on a mis un peu de soin dans l’assemblage.
L’inconvénient, c’est que c’est sensible aux traces de doigts et que la poussière sur les composants est visibles… donc s’il y a un peu de saleté, on le voit tout de suite.
Niveau isolation sonore, c’est moins performant qu’un boîtier fermé avec de la mousse.
Aujourd’hui, les boîtiers sans fenêtre sont de plus en plus rares. Et comme la majorité des gens aiment voir leur config et éventuellement mettre un peu de RGB, c’est devenu la norme.
C’est un PC qui s’adresse à un adulte, j’ai préféré rester sobre.
J’ai opté pour du noir. Si j’étais parti sur un look full RGB, j’aurais peut-être choisi un boîtier blanc, qui réfléchit mieux les couleurs.
Pour la carte mère, j’ai choisi la ASUS Prime B650-Plus.
Déjà, ASUS, c’est une valeur sûre. C’est une marque réputée pour la fiabilité des ses cartes mère et pour son interface BIOS.
J’ai aussi opté pour ce modèle parce qu’il matche visuellement avec la carte graphique. (Montrer les cartes.)
Côté budget, c’est une carte mère abordable, ce qui est un point positif.
Elle est PCI Express 5 pour les SSD, mais pas pour la carte graphique.
Même si elle est « seulement » en PCI Express 4.0 sur le port carte graphique, alors que la carte graphique est en PCI Express 5.0 et que le CPU est compatible avec cette norme, il faut relativiser.
La RTX 5070 n’exploite pas la bande passante que permet le PCIe 4. Et même pour les SSD du PCI Express 5, c’est trop cher, c’est overkill et ça chauffe trop.
Bref, c’est une carte mère avec un bon rapport qualité prix.
Pour la RAM, j’ai choisi un kit Crucial Pro Overclocking : 32 Go au total, en 2 barrettes de 16 Go, en DDR5 6000 MHz CL36.
J’ai pris Crucial parce que c’est la marque qui a le moins de retours SAV et une excellente réputation en termes de fiabilité juste devant Kingston.
Et ça, c’est super important pour éviter les écrans bleus ou les bugs aléatoires.
On sous-estime souvent l’impact de la RAM, mais une mauvaise barrette, et c’est toute la stabilité du PC qui part en vrille.
J’ai pris deux barrettes au lieu d’une seule de 32 Go, même si une seule revient parfois un peu moins cher.
Parce que le dual channel est nettement plus performant.
En gros, le PC répartit les données sur les deux barrettes, ce qui augmente la bande passante, donc les perfs sont meilleures.
En pratique, la DDR5 n’apporte pas beaucoup plus de perf.
Aujourd’hui, les prix sont devenus proches de ceux de la DDR4, donc autant se faire plaisir.
J’ai choisi la fréquence 6000 MHz avec une latence CL36 parce que c’est un bon compromis. On aurait pu viser pour le même prix du 6400 MHz, un peu plus rapide sur le papier, mais avec une latence plus élevée et souvent moins de stabilité.
Si vous voulez activer les profils d’overclocking type XMP (chez Intel) ou EXPO (chez AMD). La RAM doit mentionner la compatibilité sur l’emballage. Parfois c’est compatible qu’avec une seule des deux marques.
Et enfin, j’ai pris les barrettes en blanc. D’abord parce qu’elles étaient un peu moins chères, mais aussi parce que ça ajoute du contraste dans le boîtier.
Pour le stockage principal, je suis encore une fois parti sur un SSD Crucial.
Pourquoi Crucial ? Eh bien, comme pour la RAM, ils proposent des puces de mémoire flash fiables, avec un bon rapport qualité/prix.
En matière de SSD et non pas de RAM, on a aussi Samsung qui est une référence, notamment avec ses gammes Pro, qui offrent des performances et une fiabilité encore supérieures.
Alors oui, Crucial propose aussi des SSD professionnels, mais ils ont un taux de retour plus élevé que Samsung. Et quand il s’agit de données sensibles, ce n’est pas un détail.
Les modèles Pro, que j’utilise d’ailleurs en récupération de données pour mes clients, ont l’avantage de gérer de très gros transferts sans saturer leur cache.
En gros, même lors d’une copie massive, le débit reste constant. Sans ça, ça devient exterment lent.
Dans le cas présent, après en avoir discuté avec le client, on est resté sur un Crucial classique, en PCIe 4.0, 1 To. C’est un peu juste comme capacité aujourd’hui, mais le client a déjà plusieurs disques de son ancien PC, donc c’était suffisant pour son usage.
Côté débit, on est déjà très haut, inutile de viser du PCIe 5.0 ici : les gains seraient minimes.
Petite mise en garde au passage : évitez à tout prix les SSD chinois bas de gamme, . ça peut paraître économique sur le coup, mais ces modèles sont très sensibles aux coupures de courant et aux pertes de données. Et dans certains cas, c’est irrécupérable.
Le composant star que tout le monde attend.
Alors ici, j’ai choisi une ASUS, tout simplement parce qu’elle offre un excellent rapport qualité-prix. ASUS, globalement, propose des cartes fiables, bien conçues, et souvent moins sujettes au coil whine — ce petit sifflement désagréable que produisent parfois les bobines en résonance.
Bien sûr, la marque ne fait pas tout, le modèle précis compte énormément. Mais ASUS reste une valeur sûre, que ce soit pour la qualité des composants, les pads thermiques, ou encore le système de ventilation qui est généralement très bien pensé.
Alors oui, ici c’est une NVIDIA, et NVIDIA, on le sait, c’est plus cher que les cartes AMD… mais ce choix est justifié.
Mon client veut utiliser des outils d’intelligence artificielle, et dans ce domaine, NVIDIA est loin devant. Tout simplement parce que leurs cartes intègrent des technologies spécifiques à l’IA, comme le DLSS 4 (Deep Learning Super Sampling), qui booste drastiquement les performances en jeu sans sacrifier la qualité d’image.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que pendant des années, l’évolution des GPU reposait uniquement sur la puissance brute en rasterisation. Mais aujourd’hui, ce qui change la donne, c’est l’intelligence artificielle embarquée. L’évolution de l’inteligence artificiel est beaucoup plus rapide que celle de la puissance en rasterisation.
La puissance en rasterisation est un critaire de moins en moins pertinant.
Avec le DLSS 4, par exemple, on peut prendre une image en 1080p et l’upscaler en 4K avec un rendu qui peut parfois surpasser la 4K native. Et ce n’est pas de la magie : tout ça, c’est rendu possible grâce aux Tensor Cores + Sur les RTX 50 Series, les Transformer Engine, ces cœurs dédiés au calcul IA. Les Transformer Engine apportent une meillleur qualité que sur les generations precedentes. D’autemp plus meilleur a partir de fin juin grace a une amelioration de qualité suplementaire uniquement sur les modeles 50 Serie car c’est encore les seul qui sont equipées en Transformer.
Concernant la génération de frames, c’est plus discutable. Oui, ça augmente le nombre d’images par seconde, mais ça rajoute de la latence.
Exepté si vous êtes déjà au-dessus de 100 FPS natifs, ça peut dégrader l’expérience visuelle. Les images générées sont trop imparfaites.
D’ailleurs, au passage, au-dessus de 90 FPS, la plupart des joueurs ne font plus vraiment la différence, et au-delà de 120 FPS, très peu de gens sont capables de percevoir un gain.
Le cerveau s’adapte à une fréquence donnée et, une fois habitué, c’est le retour en arrière qui devient dérangeant.
Donc le passage de 120FPS a 180 FPS est casi inperceptible, par contre une fois le cervaux qualibré sur 180 FPS, le passage de 180 FPS à 120 FPS est perceptible.
Donc, si votre objectif c’est du 1080p pur et dur, avec des FPS au taquet, là, AMD est plus rentable. Mais si vous comptez activer les technos IA, que ce soit pour du rendu ou du gaming haut de gamme, alors NVIDIA prend clairement l’avantage — surtout grâce au DLSS, bien plus avancé que le FSR d’AMD.
Concernant la quantité de RAM, sachez que la prochaine version de DirectX pourra compresser les textures jusqu’à 95 %, réduisant ainsi considérablement la VRAM requise, avec une pénalité de rendu très faible : environ 0,05 ms.
Nvidia détient environ 90% du marché des cartes graphiques.
Alors pour l’alimentation, j’ai opté pour une Corsair RM850e, modèle 2025, avec une puissance de 850 watts.
Techniquement, j’aurais pu partir sur moins de puissance mais la différence de prix était franchement minime… alors autant prendre plus large, surtout si on veut upgrader plus tard.
Corsair fait non seulement de très bons boîtiers, mais aussi des alimentations réputées pour leur fiabilité. D’ailleurs, ils ont aussi parfois de bons rapports qualité/prix sur les RAM, c’est un peu leur trio gagnant : boîtiers, Alim, RAM.
L’alimentation a la certification Gold – ça veut dire un meilleur rendement énergétique : moins de chauffe, moins de bruit, c’est souvent plus fiable et la consommation de courant réduit indirectement le prix sur le long terme.
Et surtout : c’est une alimentation ATX 3.1, et ça, c’est super important avec les nouvelles cartes graphiques.
Petit rappel : quand la norme ATX 3.0 est sortie avec les RTX 4000, il y a eu pas mal de soucis avec le connecteur 600W. Certains fondaient ou prenaient feu…
La norme ATX 3.1, a corrigé tout ça. Le connecteur côté carte graphique est maintenant équipé de pins de détection raccourcies. Si jamais le branchement est mal fait, le courant est automatiquement coupé, et ça évite bien des catastrophes.
En plus, le câble ATX 3.1 est renforcé par rapport aux versions précédentes, donc plus solide, plus fiable.
Et détail super important : si l’alim détecte une déconnexion ou un mauvais branchement, elle coupe tout. Contrairement à une alim ATX 3.0 qui, elle, peut continuer à envoyer jusqu’à 150W, même si le branchement est foireux… et c’est là qu’on commence à cramer des trucs.
Même si votre carte graphique utilise un connecteur 12VHPWR de nouvelle génération, et que le connecteur de la carte graphique a bien les pins de détection mises à jour, si l’alimentation elle-même est encore en ATX 3.0, la détection d’un mauvais branchement fonctionnera.
si le câble est mal inséré, la carte graphique pourra le signaler. Mais l’alimentation ATX 3.0 , ne va pas couper totalement le courant. Elle va juste réduire la puissance envoyée à environ 150 watts au lieu des 600W classiques.
Pourquoi j’ai choisi les Arctic P12 Silent. Voir test : https://youtu.be/xCYiSUrkZOo?si=Ljgiut9jMHZeaq6z&t=1047
Pour la ventilation du boîtier, j’ai choisi d’ajouter trois ventilateurs Arctic P12 Silent. Ce sont des 120 mm, avec un débit d’air de 24,1 CFM – largement suffisant pour une bonne circulation d’air dans une config bien pensée.
Ces ventilos ont un excellent rapport qualité/prix :
🔸 Silencieux
🔸 Performants
🔸 Et surtout : vraiment pas chers.
Dans le monde des ventilateurs, faut pas croire que tout se vaut. Il y a des disparités entre les marques et les modèles. Certains sont inspiré en biomimestisme des ailles d’oiseaux. Par exemple, Noctua, c’est une référence absolue – reconnaissable par leur couleur Maron.
Leur gamme « Redux » :gris clair, sont super efficaces, un peu moins chers que les modèles premium de la marque, mais ça reste du haut de gamme.
Ici, j’ai préféré les Arctic qui ce défendent tres bien pour encore moins cher.
🧰 Plan de ventilation du boîtier :
Par défaut, le boîtier est livré avec :
Ce qu’on va faire, c’est :
👉 Résultat :
Et c’est volontaire : on veut plus d’air entrant que sortant, pour créer une pression positive dans le boîtier.
Pourquoi ? Parce que ça évite que de la poussière rentre par les petits trous non filtrés : tout l’air entrant passe par les filtres, donc moins de nettoyage à faire et un PC qui respire mieux sur le long terme.
🔌 Côté branchement maintenant :
La carte mère, comme souvent, n’a pas assez de connecteurs pour tout brancher. Il y a des prises CPU FAN OCP et Pump de libre, mais ce n’est pas l’ idéal
Alors on utilise un splitter : c’est un câble qui permet de brancher plusieurs ventilateurs sur une seule prise fan.
Dans mon cas, un splitter 1 vers 3 va me suffire.
💡 Et pas de panique : une prise ventilateur sur la carte mère peut gérer sans problème 3 ventilateurs
Parfois, il est possible de reconfigurer manuellement les prises dans le BIOS, même si à l’origine elles étaient prévues pour autre chose, comme une pompe AIO.
👉 Sinon, la prise dédiée à la pompe fait tourner le ventilateur en permanence, sans régulation, ce qui n’est pas optimal.
Quant à la prise fan OCP, elle se comporte comme celle du CPU fan, donc elle a tendance à réagir de façon trop agressive à la température, ce qui rendrait le ventilateur boitier un peu trop nerveux.
À noter : les ventilateurs de boîtier et les ventilateurs de CPU n’ont pas le même rôle, ni les mêmes caractéristiques.
Pour pousser l’air efficacement à travers les ailettes du radiateur du CPU, il faut une pression statique plus élevée. C’est pourquoi les ventilateurs conçus pour les ventirads ou les AIO sont généralement plus puissants en pression, même s’ils déplacent parfois un peu moins d’air en volume pur.
Les ventilateurs des boîtiers pré-monté qu’on trouve à bas prix, notamment sur certains sites allemands, sont souvent de mauvaise qualité et lâchent rapidement. C’est le souci récurrent avec ce genre de configurations : ils mettent en avant quelques composants phares, puis, pour maximiser leur marge, ils complètent le reste avec du matériel bas de gamme.
Et on termine ce setup avec un élément qu’on oublie trop souvent… l’écran.
Ici, j’ai choisi le MSI MAG 275QF, un 27 pouces en Quad HD, avec un rafraîchissement de 180 Hz en DP 144 hz en HDMI
Une Luminosité : 300 cd/m², c’est le réglage de luminausité minimum pour la HDR Dans les jeux.
Dalle 8 bits + FRC. c’est donc une fausse HDR mais HDR quand même.
Le FRC (Frame Rate Control) fait clignoter très vite les sous-pixels d’une dalle 8 bits pour “fabriquer” des nuances intermédiaires : on obtient ainsi un rendu proche du 10 bits pour moins cher, pratique sur du HDR. Attention : ce scintillement peut fatiguer les personnes sensibles. En géneral il vaut mieux rester en SDR sur ce genre d’écran et réster en HDMI 144Hz.
il dispose des technologies de réduction de la lumière bleue et d’anti-scintillement pour réduire la fatigue oculaire.
Caractéristiques :
https://www.lcd-compare.com/moniteur-MSI275QF-MSI-MAG-275QF.htm
https://www.msi.com/Monitor/MAG-275QF/Specification
Pourquoi ce modèle ? Simplement parce qu’il a un bon rapport performance-prix.
Oui, l’idéal serait d’avoir un écran avec du HDR de qualité, mais pour l’instant, à prix raisonnable, la vrai HDR reste réservé aux téléviseurs, notamment chez TCL.
Ils font des télés très abordables avec un rendu HDR impressionnant, parfaites si vous voulez jouer sur grand écran.
Et justement, n’oubliez pas qu’un PC peut très bien se brancher sur une télé si vous préférez le confort du canapé.
🖥️ Pourquoi le Quad HD change vraiment les choses par rapport au 1080p ?
Quand on passe de la Full HD (1080p) à du Quad HD (1440p), la différence est flagrante en jeu. Ce n’est pas comme regarder une vidéo YouTube, où l’amélioration est plus subtile.
En jeu vidéo, on a ce qu’on appelle une grille de pixels de rendu (celle générée par la carte graphique) qui doit s’aligner avec la grille physique de l’écran. Et si ces grilles ne s’alignent pas bien, on perd en netteté. Plus la résolution est élevée, moins ces erreurs d’alignement sont visibles, et plus l’image est nette. C’est pour ça que le Quad HD améliore énormément la finesse des jeux.
📏 Et côté distance ?
J’ai écrit des articles de blog à ce sujet sur microgitech.fr, mais pour résumer :
✅ à une distance de vision normale, le Quad HD est déjà excellent. Si on a de bons yeux, Il faut être a au moins 70 cm de l’écran pour ne pas pouvoir voir les pixels. Contre 93 cm pour un Full HD. http://jelnet.free.fr/jlnt_scrc.htm
⚠️ et même si la 4K est un cran au-dessus, la différence visuelle est moins marquée…
❌ par contre, la charge graphique explose.
Passer de 1080p à 1440p, ça augmente le nombre de pixels d’environ 78%.
Mais de 1080p à 4K, on est sur +300% ! soit 4 fois plus de pixels au total.
Donc si vous passez à la 4K, votre carte graphique doit suivre, sinon vous n’aurez plus assez de FPS.
Les avantages de la 4 K se perçoivent surtout dans les tout petits détails, comme les quelques cheveux qui dépassent d’une coupe de cheveux.
Associée à un HDR de qualité, l’amélioration de la 4k HDR est plus marquée : profondeur renforcée, couleurs et dégradés plus riches, et une finesse accrue.
Microgitech dispose d’une assurance professionnelle.
Vous êtes prioritaire sur le diagnostic
Plus c’est rapide, plus vous êtes satisfait